Le tourisme peut représenter une formidable opportunité de développement pour un pays, mais il peut aussi facilement et rapidement se transformer en un véritable désastre.

 

Voyager de manière durable, c'est en être conscient et donc adopter de bonnes pratiques pour réduire ou annuler les effets négatifs des déplacements de personnes au sein d'écosystèmes sensibles à préserver ou qui visitent des systèmes économiques en croissance à risque de développement préjudiciable à l'environnement et à qui , parmi les habitants locaux, ne pourront pas s'intégrer et participer à ce que beaucoup d'entre nous appellent le « progrès ». Ceux qui paient le prix le plus élevé dans nos destinations sont avant tout les cultures indigènes locales, celles qui survivent encore dans les forêts du Costa Rica à la frontière avec le Panama, au sud du Mexique, dans les jungles du Belize ou dans l'épaisse forêt tropicale du Nicaragua. En plus d’être les véritables et uniques gardiens de nombreux territoires, les peuples autochtones sont également les gardiens de savoirs ancestraux que nous ne devons pas perdre.

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Depuis ma naissance en 1970, la population mondiale a plus que doublé et nous avons perdu plus de 60 % de la faune sauvage mondiale (données du Rapport Planète Vivante du WWF). Plus les humains envahissent la planète, plus les forêts disparaissent, plus la faune s’éteint et plus l’atmosphère se réchauffe. Le tourisme porte une responsabilité importante dans ce processus autodestructeur. Mais nous sommes convaincus que faire connaître les merveilleux endroits de nos destinations peut concrètement contribuer à leur protection et à leur conservation. Dans divers pays du monde, il est démontré que le tourisme conscient peut en réalité produire de plus grands profits que ceux à courte vue de la pêche et de l'exploitation agricole de la terre, qui impliquent toujours et inévitablement aussi l'exploitation des travailleurs locaux. Cela a été démontré par l'observation des baleines dans les pays scandinaves et par des safaris dans divers endroits du monde, mais il reste encore beaucoup à faire pour protéger les grandes forêts et les océans du monde, dont à ce jour seulement 1 % est préservé. formellement protégé.

 

Chez INDIGO Escapes, nous préférons, par exemple, les petits hôtels caractéristiques gérés par des locaux ayant la même vision et la même sensibilité pour le territoire que nous. Nous n'utilisons jamais d'intermédiaires et pour nos partenaires nous sélectionnons uniquement de petites entreprises éco-durables, dignes et capables de se développer sainement.

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Lors de l'organisation de vos voyages, nous n'utilisons pas de papier et utilisons exclusivement des formats numériques, qui ont néanmoins un faible impact environnemental.

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L'activité d'INDIGO Escapes a pour objectif rigoureux le minimum d'impact environnemental possible avant et pendant votre voyage, dans le respect des lieux, des cultures, des personnes et des animaux, une valeur essentielle pour nous.

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Depuis 2011, année de sa création, l'équipe INDIGO s'engage dans des activités à but non lucratif au bénéfice exclusif de la Nature et des ethnies en péril dans le monde. Une partie de nos bénéfices est reversée mensuellement à des campagnes de protection et de sauvegarde de l'environnement. 

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Voici quelques indications simples que nous suggérons à tous les voyageurs avant de se lancer en voyage pour réduire la consommation et le gaspillage et limiter les risques pour l'environnement et les économies locales :

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-Évitez d’acheter beaucoup de petites bouteilles en plastique. Mieux vaut remplir plusieurs fois une bouteille d'eau personnelle ou une bouteille plus petite avec une autre de 4 litres. Lorsque des bouteilles vides sont jetées, il est nécessaire de les écraser complètement sans fermer le bouchon pour réduire au minimum le volume des déchets : plus leur volume est petit, moins il y a de déplacements nécessaires pour les transporter jusqu'à la décharge, et moins il y aura de pollution. être causé indirectement ;

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-N'achetez jamais de souvenirs fabriqués à partir de coquillages, de parties d'animaux ou d'espèces botaniques particulières, car cela encourage une collecte aveugle, devenant ainsi une cause contributive à des effets destructeurs et risquant de graves sanctions une fois à l'aéroport ;

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-Ayez toujours avec vous un sac pour collecter les déchets personnels ou les déchets dispersés dans l'environnement ;

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-Économiser l'eau, toujours et partout. L’eau est une ressource rare et coûteuse : nous devons tout faire pour en consommer le moins possible. Dans un camp de tentes, un seau d'eau et une tasse suffisent pour se laver complètement. Si vous êtes dans un hôtel, le robinet doit être fermé lorsque vous vous brossez les dents ou vous savonnez sous la douche 

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-Ne ramassez pas d'os, de coquillages ou de fleurs dans l'environnement : laissez d'autres comme nous profiter également de la même beauté. Il ne faut jamais toucher les poissons, tortues et autres organismes dans l'eau : la différence entre notre Ph et celui de la muqueuse qui recouvre leur corps peut endommager irrémédiablement la couche et ainsi favoriser l'enracinement de champignons qui pourraient même tuer l'animal ;

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-Ne donnez jamais d'argent, mais achetez exclusivement de l'artisanat local ou des produits agricoles pour favoriser les traditions et les cultures autochtones ;

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-Ne soyez pas trop critique envers les autres : le voyage est une opportunité d’enrichissement, pas de comparaison.